Si l'étude des causes du phénomène criminel ne peut être séparée du contexte social dans lequel évolue l'être humain, elle ne peut non plus s'effectuer en dehors d'une recherche portant sur l'individu lui même. En dehors de l'impact dû au rôle du sexe et de l'âge, l'inadaptation sociale d'un individu délinquant est à rechercher également dans des handicaps biologiques inhérents au bagage génétique transmis par les parents et à sa constitution physique et intellectuelle.
Des chercheurs, principalement américains, ont estimé que si les gènes jouaient un rôle important dans de nombreuses maladies, il pourrait exister un gène prédisposant au crime. Mais, actuellement, on estime que le gène du crime n'existe pas et que l'on ne devient pas criminel uniquement par héritage biologique et génétique ; il faut en plus un héritage social. Cependant, il peut exister des corrélations entre des mutations génétiques et des comportements violents: ainsi un taux de dopamine élevé pourrait favoriser un comportement agressif et impulsif, tout comme un taux important de testostérone serait également source d'agressivité.
De même, lorsque des difficultés surviennent dans le développement de la personnalité d'un individu, il y a la possibilité de troubles pouvant aller jusqu'à l'acte criminel.
Ceux qui présentent des troubles de la personnalité sont considérés comme des êtres dangereux, réfractaires à toute prise en charge psychique et enclins à la récidive. Ainsi en est-il de certains psychopathes et sociopathes (tels Francis Heaulme dit «le routard du crime», Thierry Paulin «le tueur de vieilles dames», Guy Georges «le tueur de la Bastille»).
En dehors de troubles de la personnalité, certaines personnes peuvent avoir des troubles mentaux: troubles psychotiques (schizophrénie, psychose maniaco-dépressive), troubles névrotiques (phobies, troubles obsessionnels), troubles du comportement, susceptibles de commission d'actes de délinquance.
Voici un certain nombre de causes, exogènes et/ou endogènes du phénomène criminel; mais il est bien évident que ceux portés à avoir des conduites criminelles de par leur milieu ou en raison de perturbations psychiques, ne deviennent pas tous des délinquants , encore faut – il qu'ils passent à l'acte.
Des chercheurs, principalement américains, ont estimé que si les gènes jouaient un rôle important dans de nombreuses maladies, il pourrait exister un gène prédisposant au crime. Mais, actuellement, on estime que le gène du crime n'existe pas et que l'on ne devient pas criminel uniquement par héritage biologique et génétique ; il faut en plus un héritage social. Cependant, il peut exister des corrélations entre des mutations génétiques et des comportements violents: ainsi un taux de dopamine élevé pourrait favoriser un comportement agressif et impulsif, tout comme un taux important de testostérone serait également source d'agressivité.
De même, lorsque des difficultés surviennent dans le développement de la personnalité d'un individu, il y a la possibilité de troubles pouvant aller jusqu'à l'acte criminel.
Ceux qui présentent des troubles de la personnalité sont considérés comme des êtres dangereux, réfractaires à toute prise en charge psychique et enclins à la récidive. Ainsi en est-il de certains psychopathes et sociopathes (tels Francis Heaulme dit «le routard du crime», Thierry Paulin «le tueur de vieilles dames», Guy Georges «le tueur de la Bastille»).
En dehors de troubles de la personnalité, certaines personnes peuvent avoir des troubles mentaux: troubles psychotiques (schizophrénie, psychose maniaco-dépressive), troubles névrotiques (phobies, troubles obsessionnels), troubles du comportement, susceptibles de commission d'actes de délinquance.
Voici un certain nombre de causes, exogènes et/ou endogènes du phénomène criminel; mais il est bien évident que ceux portés à avoir des conduites criminelles de par leur milieu ou en raison de perturbations psychiques, ne deviennent pas tous des délinquants , encore faut – il qu'ils passent à l'acte.