Dans le Golfe de Guinée, les attaques pour kidnapping ont tendance à augmenter, visant aussi bien les populations locales que l'industrie pétrolière. Une nette recrudescence a lieu depuis janvier 2016, sans doute due à la fin du compromis, mis en place par le précédent gouvernement, entre le gouvernement nigérian et les anciens pirates. La majorité des attaques ayant lieu dans les eaux territoriales, il revient aux marines de la région, notamment à la marine nigériane, de lutter contre ce fléau. Cette marine a réussi pour la premier fois, en février 2016, à mener un assaut contre un pétrolier capturé par les pirates, à 300 milles de ses côtes.
En Asie du Sud-Est, les attaques avaient tendance à devenir plus nombreuses jusqu'à ce que les marines de la région entreprennent d'augmenter leurs efforts. C'est un succès, et depuis août 2015, les cas de piraterie contre les pétroliers ont cessé, il ne reste plus que le brigandage endémique, qui sévit dans de nombreux ports de la région.
La piraterie somalienne fait peu parler d'elle. Pourtant, plusieurs boutres ont été capturés l'an dernier par des pirates, sans que l'on puisse déterminer si l’activité dans laquelle les victimes étaient engagées était bien légale. Les mesures de protection à bord des navires de commerce sont en baisse, le nombre de navires de guerre dans la zone diminue. Pendant ce temps, la pêche illicite dans les eaux somaliennes avive les frustration des populations locales et fournit un prétexte aux pirates. La faiblesse de la gouvernance en Somalie centrale laisse le champ libre aux pirates, qui retiennent encore plus d'une quarantaine d'otages, oubliés des médias. La convergence de tous ces facteurs fait craindre une reprise des cas de piraterie contre le commerce international.
En Asie du Sud-Est, les attaques avaient tendance à devenir plus nombreuses jusqu'à ce que les marines de la région entreprennent d'augmenter leurs efforts. C'est un succès, et depuis août 2015, les cas de piraterie contre les pétroliers ont cessé, il ne reste plus que le brigandage endémique, qui sévit dans de nombreux ports de la région.
La piraterie somalienne fait peu parler d'elle. Pourtant, plusieurs boutres ont été capturés l'an dernier par des pirates, sans que l'on puisse déterminer si l’activité dans laquelle les victimes étaient engagées était bien légale. Les mesures de protection à bord des navires de commerce sont en baisse, le nombre de navires de guerre dans la zone diminue. Pendant ce temps, la pêche illicite dans les eaux somaliennes avive les frustration des populations locales et fournit un prétexte aux pirates. La faiblesse de la gouvernance en Somalie centrale laisse le champ libre aux pirates, qui retiennent encore plus d'une quarantaine d'otages, oubliés des médias. La convergence de tous ces facteurs fait craindre une reprise des cas de piraterie contre le commerce international.