La vénerie française compte actuellement 10 000 personnes, son plus grand nombre de pratiquants de toute son histoire.
En France, la vénerie s’est intéressée historiquement au cerf, au sanglier, et au loup. On chasse désormais six animaux à courre : le lapin, le lièvre, le renard, le cerf, le sanglier et le chevreuil. On estime le nombre de chasses par an à 18 000, dans les 70 départements où elle s'exerce.
La vénerie reste très populaire et les conditions matérielles qui s'y rattachent sont extrêmement ouvertes. D’un petit équipage de lièvre avec cinq chiens courants, à la grande vénerie avec 130 chiens, les coûts ne sont pas les mêmes.
Les veneurs appuient les chiens qui chassent, quel que soit l'animal, chacun ayant sa particularité.
Un lièvre, bien chassé, est pris en près d’une heure. En grande vénerie, prendre un cerf nécessite souvent trois à quatre heures de chasse : la forme physique des cerfs dépend beaucoup de l’abondance de la glandée et des châtaignes (nourriture saisonnière). Contrairement à ce que nous pourrions penser, il est parfois aussi difficile de prendre un jeune cerf, un daguet, un premier ou deuxième tête, qu’un grand cerf qui est beaucoup plus âgé avec beaucoup plus de poids sur sa tête. Un grand cerf pèse jusqu’à 250 kg, un daguet, 200 kg et un grand trophée jusqu’à 7 kg ; en revanche, le grand cerf se défend avec l'expérience qu'il a acquise et essaie de livrer un plus jeune cerf au change.
En Europe, seules la Suède et la Finlande ont un territoire boisé plus important que celui de la France qui compte 15 millions d'hectares de bois, soit 30 % du pays.
Pour chasser le cerf, il faut disposer d’un minimum de 5 000 hectares. Peu de forêts privées sont de cette taille. La quasi-totalité des chasses de grande vénerie se passent dans des forêts domaniales dont la location aux équipages représente une ressource intéressante pour l'Office National des Forêts auquel l’État demande de plus en plus de recettes.
En France, la vénerie s’est intéressée historiquement au cerf, au sanglier, et au loup. On chasse désormais six animaux à courre : le lapin, le lièvre, le renard, le cerf, le sanglier et le chevreuil. On estime le nombre de chasses par an à 18 000, dans les 70 départements où elle s'exerce.
La vénerie reste très populaire et les conditions matérielles qui s'y rattachent sont extrêmement ouvertes. D’un petit équipage de lièvre avec cinq chiens courants, à la grande vénerie avec 130 chiens, les coûts ne sont pas les mêmes.
Les veneurs appuient les chiens qui chassent, quel que soit l'animal, chacun ayant sa particularité.
Un lièvre, bien chassé, est pris en près d’une heure. En grande vénerie, prendre un cerf nécessite souvent trois à quatre heures de chasse : la forme physique des cerfs dépend beaucoup de l’abondance de la glandée et des châtaignes (nourriture saisonnière). Contrairement à ce que nous pourrions penser, il est parfois aussi difficile de prendre un jeune cerf, un daguet, un premier ou deuxième tête, qu’un grand cerf qui est beaucoup plus âgé avec beaucoup plus de poids sur sa tête. Un grand cerf pèse jusqu’à 250 kg, un daguet, 200 kg et un grand trophée jusqu’à 7 kg ; en revanche, le grand cerf se défend avec l'expérience qu'il a acquise et essaie de livrer un plus jeune cerf au change.
En Europe, seules la Suède et la Finlande ont un territoire boisé plus important que celui de la France qui compte 15 millions d'hectares de bois, soit 30 % du pays.
Pour chasser le cerf, il faut disposer d’un minimum de 5 000 hectares. Peu de forêts privées sont de cette taille. La quasi-totalité des chasses de grande vénerie se passent dans des forêts domaniales dont la location aux équipages représente une ressource intéressante pour l'Office National des Forêts auquel l’État demande de plus en plus de recettes.