Il y a 46 ans, le vaisseau Challenger de la mission Apollo 17 décollait de la Lune avec à son bord les derniers humains en date à avoir posé le pied sur un autre monde. Si, depuis cette époque, de nombreuses sondes et autres rovers nous ont apporté des images fantastiques de Mars, des lunes de Jupiter ou même de la lointaine Pluton, aucun homme n’est retourné au-delà de l’orbite terrestre basse, soit environ 400 km d’altitude.
Pourtant, depuis quelques années, une nouvelle volonté s’affermit, portée par l’administration américaine et des entrepreneurs privés, d’accord pour
relancer des missions d’exploration habitées dans l’espace profond. Ainsi, en décembre dernier, Donald Trump annonçait qu’il souhaitait envoyer de nouveau des hommes sur la Lune afin de préparer une autre mission vers Mars d’ici 2034 ; une volonté qui était partagée par ses prédécesseurs Barack Obama et George W. Bush. En octobre 2017, c’était le fondateur de Space X, Elon Musk, qui avait présenté, lors du 68e Congrès international d’astronautique d’Adélaïde (Australie), sa Big Falcon Rocket, une fusée de 122 mètres de haut, capable, selon lui, d’installer une base sur Mars d’ici à 2024.
relancer des missions d’exploration habitées dans l’espace profond. Ainsi, en décembre dernier, Donald Trump annonçait qu’il souhaitait envoyer de nouveau des hommes sur la Lune afin de préparer une autre mission vers Mars d’ici 2034 ; une volonté qui était partagée par ses prédécesseurs Barack Obama et George W. Bush. En octobre 2017, c’était le fondateur de Space X, Elon Musk, qui avait présenté, lors du 68e Congrès international d’astronautique d’Adélaïde (Australie), sa Big Falcon Rocket, une fusée de 122 mètres de haut, capable, selon lui, d’installer une base sur Mars d’ici à 2024.